Le R.E.A.A. s'exprime...
Le Suprême Conseil du REAA pour la FRANCE
Les membres du Suprême Conseil Pour La France ont reçu aujourd’hui un courrier ( 
SCF REAA 17-09-10) du Souverain Grand Commandeur les informant de la décision du Suprême Conseil qui ,réuni en séance extraordinaire, prend ses distances avec le projet du « Comité de Coordination des Juridictions » de la GLNF.
Il n’avait échappé à personne que ce projet visait à mettre sous la coupe du Guide les Juridictions des Rites.
« …le Suprême Conseil soucieux de préserver les fondements initiatiques du Rite Ecossais Ancien et Accepté qui permettent la transmission des valeurs traditionnelles a adressé une lettre au GM de la GLNF pour lui rappeler que la Juridiction du REAA est totalement souveraine et autonome. ».
La grande majorité des Frères de la GLNF est depuis longtemps inquiète du travail de sape que le Guide a entrepris depuis bientôt trois ans sur les fondements initiatiques.
Les « Ecossais » via les blogs Myosotis en ont souvent appelé au SCPLF afin qu’il se démarque de ces errements contre-initiatiques et se sont désespérés de l’absence de prise de position.
C’est fait ! Merci au Souverain Grand Commandeur et aux Officiers qui l'assistent
Texte de la lettre adressée aux Frères du REAA:
Mon Très Cher Frère,
Le Suprême Conseil Pour la France est confronté à un projet de la Grande Loge Nationale Française envisageant à cours terme la création d'un « Comité de coordination des Juridictions» présidé par le Grand Maître de la Grande Loge Nationale Française en tant que « Chef de l'Ordre ».
Devant cette perspective et pour répondre au questionnement légitime des Maçons Ecossais,
le Suprême Conseil réuni en séance extraordinaire, soucieux de préserver les fondements Initiatiques du Rite Ecossais Ancien et Accepté qui permettent la transmission des valeurs traditionnelles, a adressé au Grand Maître de la Grande Loge Nationale Française une lettre lui rappelant que notre Juridiction est totalement souveraine et autonome. En conséquence, toute contribution souhaitable entre nos deux institutions ne peut se concevoir que dans le respect mutuel de nos souverainetés.
Le Suprême Conseil a estimé que tu dois en être informé.
Je te prie de croire, Mon Très Cher Frère, en l'expression de mes sentiments fraternels et affectueux